Que voit-on lorsqu’on regarde un même arbre douze fois ?
Ce n’est pas l’arbre qui change — c’est le regard.
Cette série interroge la fausse évidence de la permanence. Chaque cadrage, chaque angle,
chaque vibration de la lumière ouvre une brèche dans le réel.
L’unicité devient variation. L’identité devient fiction.
L’arbre devient l’image de nos dissonances.